Voici une liste non exhaustive des psychologues et psychiatres « testés » du Caire par nos compatriotes. Presque tous ceux de la liste sont francophones. Certains pratiquent dans des quartiers différents. Quelques commentaires peuvent être rajoutés en fonction des expériences.
N.B. Ces listes ne sont pas exhaustives et sont diffusées pour information. Si vous souhaitez modifier ou ajouter des informations générales, merci de nous le signaler. Les volontaires qui ont participé à la rédaction de cet annuaire vous prient d’excuser les erreurs qui ont pu s’y glisser.
Voici une liste non exhaustive des pédiatres « testés » du Caire par nos compatriotes. La plupart sont francophones. Les pédiatres pratiquent parfois dans des quartiers différents. Quelques commentaires peuvent être rajoutés en fonction des expériences.
Georges Jacqueline (francophone), 25 rue 263, Maadi (27544878 – 01280679973)
Mohandessin
Chérif Safwat Erian (francophone), 1, pl. Heggaz, « Safa Medical Tower », Mohandessin (3338 19 05)
Jeannette Azmi Boutros (francophone), 19, rue Mecca El Mokarama, Mohandessin (3 837 42 83 – 012 214 29 57)
Zamalek
Chérif Erian (francophone), El Guezira Clinic, Zamalek, (0122 2137996)
George Jacqueline (francophone), 31, rue El Mansour Mohamed, Zamalek (2735 45 75 – 010 524 00 67)
N.B. Ces listes ne sont pas exhaustives et sont diffusées pour information. Si vous souhaitez modifier ou ajouter des informations générales, merci de nous le signaler. Les volontaires qui ont participé à la rédaction de cet annuaire vous prient d’excuser les erreurs qui ont pu s’y glisser.
Voici une liste non exhaustive des dentistes « testés » du Caire par nos compatriotes. Tous sont anglophones, certains sont francophones. Les dentistes pratiquent souvent dans des quartiers différents. Quelques commentaires ont été rajoutés en fonction des expériences.
N’oubliez pas aussi l’excellente application (disponible en anglais) Vezeeta (site internet : https://www.vezeeta.com/en) qui permet également les prises de rendez-vous.
Moawad Nabil (francophone), 22, rue Wadi El Nil, Mohandessin (3346 90 50 – 3346 90 60)
Zohdi Hussein (francophone), 17 A, El Hegaz Street Mohandessin (3346 1945 – 012 315 3100)
Zamalek
Dr Moussa (anglophone), First Dental Center (FDC), Très professionnel, aseptie respectée, bon suivi du dossier. Cabinet également à Sheikh Zayed et Maadi.
Ahmad M. Shawir (francophone), 34, Bahgat Ali, Zamalek (0227 355 987 – 0111 087 7400)
Moros Spiro (francophone), 2, rue Fouad El Ahouany Zamalek (0227 382 707 – 012 323 23 26)
Shukry Rafik (francophone), 25 A, rue Ismail Mohammed, Zamalek (2736 9769 – 0106 003 222)
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Voici une liste non exhaustive des médecins généralistes francophones du Caire. La plupart d’entre eux se déplacent à domicile. N’oubliez pas l’excellente application (disponible en anglais) Vezeeta (site internet : https://www.vezeeta.com/en) qui permet également les prises de rendez-vous.
6 Octobre
Centre-ville
Gawish Rami, 31, rue Daher, Centre Ville (2590 7532 – 2590 8470). Egalement pédiatre.
Naguid E. Naggar, 78, rue Gomhoureya, Centre Ville (2592 2007/4539 – 010 259 69 68)
Rabbat Sherif, 75, rue Ramsès ,Centre Ville (2241 3245 – 2575 3249 – 010 140 38 84)
Héliopolis
Sobhi El Masri, 24, rue el Ahram, Héliopolis (2240 0209 – 2737 3450 – 012 213 93 71)
Wadih G. Gawish, 10, rue Sidi Gaber ou HVMP Clinic, Héliopolis (2452 3325 – 2290 0732 – 012 321 14 77)
Wessam René El Masry, 18, rue Nakhla El Motei, Héliopolis (2644 3628 – 010 577 60 48)
Maadi
Sabry Ghaly Meghaly, 32, rue du Golf, Maadi (2380 9247 – 2380 9995 – 012 322 50 13)
Zamalek
Kahil Chérine, 4A, rue Ibn Zanki, Zamalek (012 218 22 79)
Kahil Georges, 7, rue el Aziz Osman, Zamalek (2738 0300 – 012 210 98 91)
Kahil Wael, 7, rue el Aziz Osman, Zamalek (2738 0300 – 010 210 9891)
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Voici une liste non exhaustive des hôpitaux du Caire. Il s’agit d’une liste établie par des volontaires et elle n’a pas d’autre objectif que de vous informer.
6 Octobre
Dar El Fouad, Cité du 6 octobre (N° urgence : 16370. N° WhatsApp : 01119983339. Autres n° : 3835 60 28 – 3835 6040 – 3835 60 50). Localisation
Hôpital Universitaire Kasr El Aïni, rue Kasr El Aïni, Manial (23 65 4107 – 23 65 4060 – 23 65 4066 – 23 65 4133). Localisation
Dokki
Misr International Hospital, 12, rue El Saraya, Veiny square (N° d’urgence : 16010. Autres numéros : 3760 82 61-63 – 3760 82 65-69 – 3761 32 28). Localisation
Héliopolis
Hôpital militaire Galaa, 3, El Orouba après Salah Salem (19218 – 0222673650 – 0222673651 – 0222673652). Localisation
Cairo Medical Center, (Cleopatra group, Cairo specialized hospital), 4, r. Abu Ebeid El Bakry, Roxy-Hélio (0224509800/7600/7500 – 022450 98 00 – 022452 10 74). Localisation
Hayat Medical Center , 6, rue Menes, Korba, Helio (2290 70 17 – 2417 58 32). Localisation
Hôpital Américain, 15, rue Khaled Ibn El-Walid (2267 96 38 – 2267 96 38). Localisation
Hôpital Cleopatra, 39, rue Cleopatra, Hélio-Salah El Dine (19668 – 2414 39 31 – 2417 82 06). Localisation
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Dans le cadre du 9ème Festival du Centre-Ville sur les Arts contemporains (D-CAF) mercredi 20 et jeudi 21 octobre, au théâtre Rawabet, deux représentations uniques ont eu lieu de « Celle qui habitait la maison avant moi » de Rasha Omran, auteure syrienne en exil au Caire.[1]
Pour faire enter le public dans le texte, le metteur en scène plonge la salle dans le noir et dans le silence durant plusieurs minutes. Le temps paraît long mais c’est un sas nécessaire pour recevoir des sons particuliers qui accompagnent les mots, et rien que les mots de ces poèmes syriens. C’est ainsi qu’une voix douce et posée récite des vers en arabe classique dont on peut saisir et ressentir la mélodie envoûtante et rythmée, même si on ne comprend pas la langue. Puis, toujours dans l’obscurité, une autre voix prend le relais et récite les mêmes vers, en français, tout aussi lentement et de façon articulée:
« Chaque fois que j’essaye d’écrire sur l’amour, l’autre femme tend la main et
Ensuite la troisième voix se fait plus présente, une voix réellement polyphonique, c’est-à-dire capable d’émettre plusieurs sons différents, simultanément, soutenus ou syncopés, brefs ou prolongés. Décontenancés, les spectateurs sont alors prêts à franchir le seuil de ce lieu inconnu évoqué par les voix et à entrer dans une méditation autour d’une rencontre impossible entre deux femmes, « celle qui habitait la maison avant moi » et la nouvelle habitante. La lumière apparaît alors sur la scène et augmente petit à petit, filtrée à travers des jeux de reflets de miroirs et révélant la présence de trois femmes habillées de noir, debout face au public.
Durant une heure, les spectateurs vivent dans cet appartement insolite, tantôt inquiétant et provoquant des moments d’angoisse et de frayeur lorsque la femme délaissée hante les lieux pour crier sa souffrance et sa colère, tantôt accueillant et se voulant consolant lorsqu’elle pleure sur sa tendresse perdue qui la maintient désormais dans une solitude douloureuse qu’elle ne supporte plus.
Semblant apaisée, « celle qui habitait la maison avant moi » émet alors des sons plus doux voire joyeux, entraînant avec elle les deux autres voix qui se mêlent avant de conclure cette méditation poétique dans une relative sérénité. La lumière peut diminuer puis disparaître et replonger la salle dans le noir accompagné de quelques sons, comme un livre qui se referme et une bougie qui s’éteint en laissant son odeur pour marquer sa présence.
Après le spectacle, quelques phrases vous hantent, quelques mots arabes vous reviennent, quelques cris aussi. On ne quitte pas cette maison si facilement. C’est bien là toute la finesse et la puissance douce des textes de Rasha Omran, une femme qui hante nos esprits.
Corine Rochesson
[1]Rasha OMRAN, poétesse exilée politique syrienne, qui vit au Caire depuis 2012 et habite en centre-ville dans un appartement longtemps délaissé avant son arrivée et qui lui a inspiré 85 poèmes. Rassemblés dans un recueil intitulé « Celle qui habitait la maison avant moi » traduit en français par Mireille MIKHAIL et Henri-Jules JULIEN, ils ont été mis en scène par ce dernier et interprétés en arabe par Rasha Omran elle-même et pour la première fois sur les planches, en français par Nora Mohamed, comédienne syrienne, et par Isabelle Duthoit pour la partie vocale.
[2]Le texte est publié dans la revue « L’Ours Blanc » N°29, aux éditions Héros-Limite, du 14 mai 2021.
Après le spectaculaire déplacement des momies royales de la Place Tahrir au nouveau musée de la civilisation égyptienne de Fustat, vous pouvez désormais vous y rendre et redécouvrir certains objets dans une présentation toute contemporaine et selon les codes de la nouvelle muséologie : un espace largement ouvert, une sélection très ciblée d’œuvres de différentes époques, des explications animées et sur tablette, le tout selon une mise en scène, certes encore en gestation, mais déjà pharaonique.
Avant d’accéder au musée lui-même, il vous faudra gravir un parvis en pente douce et jalonné de piliers présentant les portraits de souverains et souveraines ayant élu résidence dans le bâtiment : plusieurs Ramsès, le grand Séthi, Hatchepsout, Tiy… Et, s’il ne fait pas trop chaud, vous pourrez prolonger ce moment en vous déplaçant légèrement sur la gauche et vous imaginer dans les coulisses de studios de cinéma en découvrant quelques décors de carton-pâte ayant balisé le trajet des momies dans les rues du Caire. Effet kitch assuré !
En pénétrant dans le musée, une impression de vide se fait tout de suite sentir dans l’entrée car il n’y a strictement RIEN ! Un long et large couloir lumineux, vous attire alors comme pour vous dire : « – Oui oui avancez, c’est bien par là ! » Alors vous entrez dans ce « corridor du temps » et vous vous retrouvez devant un choix cornélien : descendre un escalier mystérieux qui traverse une rotonde où défilent les momies royales sur un écran circulaire ou bien contourner ce puits de lumière tamisée et atteindre enfin l’immense salle des trésors retrouvés ?
Si vous optez pour l’aventure, vous descendrez un escalier sobre et nu qui vous conduira à un ensemble de couloirs coudés et toujours sans décor et vous vous retrouverez face à la momie d’un premier souverain tandis qu’au mur, sur un panneau discret, vous pourrez connaître ses hauts faits et son nom usuel en hiéroglyphes. Et ainsi de suite pour les 21 autres momies, présentées tantôt seules, tantôt « accompagnées ». (Petite note pour les connaisseurs : on remarquera que les conservateurs ont bien pris soin d’éviter de placer Hatchepsout dans la même pièce que Thoumosis III … afin d’éviter de nouvelles querelles sans doute !)
Et chacun de s’extasier sur l’impressionnante, très belle et abondante chevelure de la reine Tiy, ou bien sur l’allure encore pleine de prestance et de grandeur de Séthi Ier.
Pour rejoindre le monde des vivants, vous suivrez un escalier modeste qui vous propulsera à l’époque romaine dans l’immense salle d’exposition très lumineuse. Organisée à la fois chronologiquement (de la Préhistoire au XXème siècle) et par thème, (le Nil, habitat, soins du corps, temps, religion) elle présente une sélection subtile d’objets représentatifs de chaque item. Ce qui est appréciable c’est que, contrairement à ce qui devient désormais une habitude dans beaucoup de musées que de mettre les œuvres sous vitrines, des sculptures, de bois, de bronze comme de pierre, et autres pièces, sont exposées à la vue directe du public simplement entourées d’un ruban bleu pour maintenir les visiteurs à distance. Et vous retrouverez avec joie certaines œuvres du musée de la Place Tahrir bien mises en valeur ici comme la belle statue du dieu lune Khonsou sous les traits de Toutankhamon, celle du scribe Hapi (de Karnak) ou encore celle en schiste de la déesse Hathor protégeant le pharaon Psammétique.
Statue du dieu Khonsou sous les traits de Toutankhamon, granit, 2m52, provenant du temple de Karnak (XVIIIe dynastie, règne de Toutankhamon)
Au chapitre des objets insolites on peut citer une prothèse d’orteil réalisée sur mesure, (hélas sans aucune indication du lieu de la trouvaille ni de l’époque car il manque encore beaucoup de cartels dans les vitrines) mais une tablette est posée dans l’angle de la vitrine et montre, à l’aide d’une animation en 3D, comment elle était utilisée. Un modèle de tour de briques d’époque romaine réalisé en pierre, montre un système de construction astucieux en plaçant des briques formant des vagues pour donner de la souplesse au bâtiment.
De fragiles pièces de tissu copte sont également exposées ainsi qu’une fresque provenant d’un plafond de chapelle dont le décor représente une vierge à l’enfant entourée de saints.
L’époque islamique n’est pas en reste car on retrouve de belles pièces de céramique, issues du musée de la rue Port-Saïd comme le plat circulaire au Joueur de Luth d’époque fatimide (très particulier avec son point turquoise sur le visage), un superbe minbar mamelouk et une intelligente exposition de maquette de certains immeubles du centre-ville du début du XXème siècle avec leur architecte ou leur commanditaire comme le célèbre Pacha Talaat Harb, créateur de la Banque Misr, première banque 100% égyptienne, actionnaires comme employés.
Bien d’autres trésors raffinés et subtils vous attendent et ne demandent qu’à vous étonner. Et si vous désirez méditer au bord d’une pièce d’eau, c’est possible : il vous suffira de sortir côté jardin près de l’entrée et de descendre quelques marches pour vous retrouver parmi la verdure et pour découvrir ce quartier de Fustat, autrefois délaissé mais désormais « royalement » réhabilité.
Panorama des établissements scolaires en Egypte qui proposent la préparation du baccalauréat français. La liste qui suit concerne les établissements homologués par l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE).
Le Caire
Carte interactive des établissements du Caire
Les codes couleurs correspondent au type d’établissement. Pour une vision plus linéaire voir ci-dessous.
Les établissements confessionnaux du Caire ne sont homologués par l’AEFE que pour les classes de lycée, de la Seconde à la Terminale. Ils sont tous localisés dans le centre du Caire et occupent de magnifiques bâtiments construits au XIXe siècle.
Le Lycée français d’Alexandrie est géré par la Mission laïque française et propose un enseignement homologué par l’AEFE depuis le primaire jusqu’en Terminale.
L’Ecole française d’Hurghada est placée sous la tutelle de l’Ambassade de France en Egypte. Elle propose un enseignement de la maternelle jusqu’en Terminale. L’établissement n’est pas homologué par l’AEFE, mais chaque classe est dirigée par un enseignant de langue française et le cursus scolaire de la 6e jusqu’en Terminale est validé par le CNED (Centre National d’Enseignement à Distance, organisme du Ministère français de l’Éducation Nationale).
Ecole française d’Hurghada
15km au Nord d’Hurghada sur la route du désert vers El Gouna
L’Ecole française de Sharm el Sheikh est placée sous la tutelle de l’Ambassade de France en Egypte. Elle propose un enseignement de la maternelle jusqu’au lycée. L’établissement n’est pas homologué par l’AEFE, mais le cursus scolaire est validé par le CNED (Centre National d’Enseignement à Distance).